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Maison de Leonel et d'Anne

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Message  Anne LaChapelle Lun 8 Déc - 19:01

- Description a venir -
Anne LaChapelle
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Message  Élizabeth DeChaperel Lun 8 Déc - 19:33

Élizabeth serra son manteau sur elle et inspira. Il ne faisait pas très chaud aujourd'hui...Elle avait quitté sa chambre dans le logis des filles du Roy pour une bonne ballade dans la ville. Elle voyait plusieurs beau monsieurs, mais aucun ne faisait volé le coeur de la jeune fille bien haut. Elle considérait l'amour comme une atraction, de véritable montagne russe ou on monte et on descend, pas très enviable. Elle aimait bien par contre les regardé, car elle pouvait alors jugé s'il était: Intelligent, Idiot, Neutre. Elle trouvait bien drôle ce petit jeu, ils'agissait de mettre une perruque blanche de scientifique sur la tête des gens pour dire Intelligent, et multi-color pour les idiots^^ Neutre, alors il restait ainsi.

Cela aisait une semaine qu'Élizabeth vivait ici. Elle avait rencontré une très bonne amie en venant ici. En effet, a jeune rebelle s'était lié d'amitié avec Anne LaChapelle. Une jeune femme aux origines chinoise, elle croyait. Élizbeth aimait beaucoup la compagnie de sa meilleure amie. Celle-ci était marié et vivait bien dans jolie maison au coeur de la ville. Éli se demanda si Anne avait passé par les Filles du Roy avant de se marié. La jeune rebelle essayait de se convaincre, qu'être au Québec, avait toujours été une bonne idée.

Les lettres de son père la réclamait auprès de lui. Malgré ses visites au Québec, Michel voulait que sa fille retraverse l'océan et vienne batire sa vie en France. Mais élizabeth s'était attaché à la nouvlle-France et se refusait à abandonné Anne. C'était sa meilleure amie, la seule personne au monde qui l'aie jamais comprise. Anne était vraiment importante pour Élizabeth, il serait fou de se séparé d'elle. Deplus, comme dis plus haut, elle ne tarderat pas à se mariée. Les filles du Roy trouve toujours des bons époux rapidement.

Élizabeth changea de direction et opta pour la rue où habitait Anne et Leonel, le maris de Anne. Elle chercha rapidement la jolie maison de son amie. Une maison...Ce devait être la seule chose que Élizabeth enviait à Anne. Vivre avec d'autre femmes en collectivité dans une même maison, les faisait rapidement rêver d'une maison. Éli repéra la maison de Anne et s'y dépêcha, elle resserra son manteau sur elle. Sa robe de tissus léger et bleu ne coupait nullement le ven qui la fouettait. Elle cogna quelque maigre coup sur la porte, mais la froideur de l'air lui pinçait la porte et elle n'attendit pas qu'on lui ouvre.

Elle entra. Élizabeth était pollie donc elle resta sur le seuil et lança: << Anne, j'suis totalement frigorifiée! T'as vue l'temps qui fait dehors! Un peu plus et on se transformerait en petit glaçons! Vivement l'été et la chaleur! >> Elle avait fait son habituelle exagération, mais pour une fois c'était vrais...
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Message  Anne LaChapelle Lun 8 Déc - 19:39

Beau mais froide, la journée s’annonçait plutôt longue. Anne c’était lever très tôt, mais son mari était déjà partit travailler. Comme d’habitude elle se leva et alla se laver, s’habiller et préparer le petit déjeuner. Anne mit ses mocassins et descendis les escaliers. Heureuse. Pourquoi? Sans aucunes raisons, simplement heureuse. Elle arriva à la cuisine et se prit une chaise. Les coudes sur la table elle se demandait qu’est ce qu’elle pourrait bien manger. Puis une recette chinoise, que sa mère lui faisait souvent lui vint a l’esprit. Bon idée, elle allait faire sa. La jeune chinoise, se mit devant le comptoir et commença à cuisiner, c’est la que tous son enfance lui passa sous les yeux. Les nombreux matins ou sa mère et elle cuisinait, pour tous la famille, c’est la qu’elle apprit la recette, c’est comme le vélo c’a ne s’oubli pas. Son départ de la chine, lui vint aussi a l’esprit, la lettre. Anne ne l’avait même pas encore ouvert. Pourquoi? Elle avait peur. De quoi? Elle ne le savait pas, de voir le pourquoi du comment. Pourquoi sa mère l’avait abandonné et comment elle avait bien pue faire ca. Anne tourna la tête et regarda les escaliers.

La lettre était posée au fond de son armoire, a coté du lit, caché en dessus de son livre. Puis pour se changer les idées, elle repensa a son arriver. C’est la que sa vie avait vraiment changé. C’est lorsqu’elle entra a l’orphelinat. C’est sure qu’elle aurait préférer être avec ses parents, mais elle n’avait pas tombé dans de mauvais bras après tous. Elle était devenue fille du roi, et avait eu une demande en mariage, il y a de sa maintenant un an. Et oui, déjà un an. Leonel De Larchignan, un avocat. Anne eu un petit sourire, puis repensa à Elizabeth. C’est lorsqu’elle c’était marié qu’elle l’avait rencontré… un peu avant pour être juste. Anne tenait vraiment à cette fille. Étrangement la première fois qu’Anne lui avait parlée, elle la trouva fantastique. Personne n’avait un caractère comme elle. Elizabeth était unique, et c’est ce qu’Anne préférais chez elle. Elizabeth n’était pas encore marié alors elle restait encor dans le logis des filles du roy.

Anne, leva les yeux et regarda par la fenêtre. Il ventait fort, se qui faisait bouger les arbres d’un bord et de l’autre. Puis elle jeta un coup d’œil a se qu’elle préparait. Restais plus qu’a faire cuire, environ 15 minutes. Anne ôta son tablier et monta les escaliers, pour se diriger vers sa chambre. Elle se plaça sur le bord de son lit, près de son petit bureau en bois. Elle tira l’armoire et poussa son livre vers la gauche pour enfin apercevoir la lettre. Elle la prit dans ses mains. Hésitante elle l’ouvrit et la tira de l’enveloppe. Au moment ou elle s’apprêtait à la lire elle entendit son amie l’appeler en bas. << Anne, j'suis totalement frigorifiée! T'as vue l'temps qui fait dehors! Un peu plus et on se transformerait en petit glaçons! Vivement l'été et la chaleur! >> Anne ne pue s’empêcher de faire un petit sourit, en sursautant. Décidemment, elle n’était pas du pour la lire cette lettre la. Elle la reposa dans l’enveloppe et la remit dans le tiroir.

<< J’arrive. >> Elle se leva et se regarda dans le miroir en passant. Elle descendit les marches et rejoignit son amie devant la porte. << Bonjour. Qu’elle bon vent t’amène? >> Sur cette phrase, Anne regarda dehors et émit un petit rire. Effectivement il ventait beaucoup dehors. << Donne ton manteaux, et viens avec moi dans la cuisine, j’étais justement entrain de préparer à manger. >> Anne remit son tablier, et fit un sourire à son amie qui venait de se prendre une chaise. Elle prit la nourriture qui était en train de cuire et le déposa au milieu de la table. << Il faut que tu goute ca. Recette spécial de Chine. >> Elle prit une assiette et la servi a son ami. Puis elle se prit une chaise à son tour. << Alors, ca va toi? >>. Anne se regardait. Elle n’etait pas vraiment habiller pour recevoir des gens il faut dire. Son amie elle portait une jolie robe. Anne elle avait mit sa robe, qu’elle avait depuis longtemps. Elle qui pensait faire du ménage et le souper toute la journée. Elle était surprise de la visite de son amie, mais cela lui faisait très plaisir de la voir.


HJ: Si il y a quoi que se soit. Mp! Anoukta va poster si il y a quoi que se soit. Mp ^^!


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Message  Anoukta Minanow Lun 8 Déc - 23:12

Anoukta se promenait dans les rues de Québec. Elle avait beau ne pas aimer les hommes blancs, il fallait bien qu’elle visite un peu sa nouvelle ville! Pourquoi son clan ne restait plus à Ville-Marie? Une attaque d’Iroquois, tout simplement. Le chef du village avait décidé de déménager le clan beaucoup plus loin, pour plus de sécurité. Anoukta avait proposé Québec, à cause de ses herbes médicinales en grande quantité. Le chef avait approuvé. Donc, Anoukta cherchait les bons commerces et les endroits utiles. Elle marchait sur un chemin de pierres, bordé de maisons en pierres elles aussi. Les blancs ne comprenaient pas l’inutilité de la chose! Comment ils pouvaient suivre le gibier, ou s’enfuir avec ses grosses maisons en pierre? Impossible! Ah, qu’ils étaient stupides ces blancs… Ils venaient chasser des gens qui étaient là depuis toujours et volaient leurs castors… Elle continuait à avancer dans la ville, observant la ville et un peu le Saint-Laurent, où des blancs et des amérindiens se disputaient le poisson. Eux aussi, étaient stupides! Pourquoi se donnaient –ils aux blancs, qui n’étaient même pas reconnaissants et qui ne les remerciaient pas!

La plupart des gens entreposaient la viande qu’ils avaient tuée récemment. Ils avaient amené plein d’animaux étranges de leur pays… Ils les mettaient dans leurs enclos, les nourrissaient et les tuaient à la saison des feuilles tombantes… Ils les salaient et les entreposaient dans des trous, dans le sol… Et ses femmes, qui avaient envahi les environs… Quelles idiotes! Ne pouvaient-elles pas rester d’où elles venaient? Il y avait bien assez d’hommes ici, et maintenant, les femmes envahissaient la place. Sans parler de ces hommes et ces femmes, qui paradaient dans leurs vêtements ridicules…

Anoukta sortit de ses pensées. Elle s’était pris le pied dans une pierre trop élevée, comparé au reste du chemin et elle trébucha. Ah, merde! Elle se releva et s’inspecta. Les genoux en sang, sans parler des coudes… Si elle avait trébuché dans la forêt, ça ne serait pas arrivé! Elle n’avait même pas d’onguent sur elle… Elle jura dans sa langue, criant presque. Elle savait que de toute façon, personne ne la comprendrait. Elle ne comprendrait même pas un blanc, avec son langage ridicule. Elle ne le comprenait pas vraiment, juste quelques mots. Elle regarda autour d’elle, cherchant une boutique qui aurait ce qu’elle avait besoin. Il n’y avait que des maisons autour d’elle… Elle jura a nouveau, a mi-voix cette fois.


[Voili voilà! si ya kkchose, mp!]
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Message  Élizabeth DeChaperel Mer 10 Déc - 3:20

Anne lui cria qu'elle arrivait et quelque seconde après, elle apparaissait. << Bonjour. Qu’elle bon vent t’amène? >> Celui de gauche celui de droite, c'était aux choix! Non, elle avait une grande nouvelle à annoncé à Anne! La meilleure d'entre toutes! << Donne ton manteaux, et viens avec moi dans la cuisine, j’étais justement entrain de préparer à manger. >> Élizabeth délaissa son manteau et obtempéra. Elle alla s'asseoir sur une chaise, la trouvant fabuleusement confortable...Anne posa alors de la nourriture au centre de la table et lui en servit << Il faut que tu goute ca. Recette spécial de Chine. >> Puis elle se prit une chaise et s'asseyit << Alors, ca va toi? >>.

Si elle allait?! Elle allait merveilleusement bien...mais pouvait-elle se l'avoué? Elle était un peu inquiète de son nouveau petit bonheur. Elle allait devoir rédigé une longue lettre pour son père lui expliquant tout. Mais maintenant c'était à Anne qu'elle allait s'adressé. Comment tout lui expliqué sans explosé??? De plus elle n'allait quand même pas sauté au plafond...noooon. Tellement pas son genre. En réfléchissant elle goutta à la nourriture...commentaire pensé avant mais non exprimé cela sentait bon! Et sa goûtait fabuleusement bon! << Oh Mon Dieu! Anne s'est merveilleusement bon, tu ne peux pas savoir...ou plutôt si tu le sais! C'est toi qui l'a fait!...Il faut absolument que tu me l'enseigne et j'aurais aussi une faveure à te demander... >>

Les joues de la jeune femme s'empourprèrent brutalement. En goûtant la nourriture fabuleuse de son amie, Élizaveth avait réalisé...Qu'elle ne savait pas cuisiné! Elle était mariée, mais ne savait pas cuisiné! Oh mon Dieu! Mais quel honte! Si Alexandre l'apprenait...humiliation extrême totale! Elle rougissait tellement qu'elle menaçait de s'enflammé. << Oh mon Dieu! Je vais tellement bien Anne...mais hum...Il va falloir que tu m'apprennes à cuisiné!!! Je sais pas cuisiné et je suis mariée! Oh mon Dieu, s'il te plaît, il faut que tu m'aide! >> Quelle empotée, elle aurait dut vérifié ses talents cullinaires avant de se mariée! Et puis où était donc passé sa bonne endurance!? Voyons! Ce n'était pas grave qu'elle ne sache pas cuisiné...elle allait juste empoisonné Alexandre...

<< Oh Anne! Je ne veux pas empoisonné mon maris! Oh oui...Eh bien, c'est l'une de mes nouvelles...Je suis mariée! À Alexandre Stavoie! C'est le capitaine d'une entreprise navale ou un truc dans le genre! Mais je sais qu'il possède un bateau appellé fonceur! Il est si beau...pas le bateau, LUI! Oh Anne! Dis-moi comment est-ce le mariage? Je ne veux pas lui faire honte... >> Devant sa meilleure amie, elle était gênée, mais préférait perdre dignité devant elle que devant son époux! Devant lui, elle devait se montré forte! La jeune rebelle fondait littéralement son regard se porta alors dehors...Au travers du vent, il y avait une femme!

<< Anne! Anne! Il y a une femme dehors! Oh mon Dieu je crois qu'elle saigne! la pauvre, que lui est-il arrivée! Elle a peut-être été attaquée! Viens, elle doit être prête à se transformé en pingguoins avec le temps! >> Sans attendre plus longtemps, la jeune femme fonça dehors, elle ne prit pas le temps de mettre son manteau et le froid mordit sa peau lorsqu'elle sortit et se dirigea vers la femme dehors. Sa robe bleu volant contre elle et son collier en perle dansant dans le vent. Elle rejoignit la femme de sa démarche de danseuse << Mademoiselle vous allez bien? Oh mon Dieu?! Avez-vous froid? Vos vêtements ne vous protège peut-être pas assez?! Anne??? >>

Élizabeth ne connaissait nullement l'histoire du nouveau continent. Elle ignorait qu'elle se tenait devant une jeune amérindienne. Élizabeth ne savait rien en fait des gens qui habitait ici depuis des temps et des temps! La jeune femme sautillait sur place, un sourire peignait son visage de poupée, mais le froid continuait delui faire horreure.


HJ- S'il y a quoi que ce soit, Mp!
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Message  Anne LaChapelle Jeu 11 Déc - 0:21

Anne était assise et regardait son amie mangé. Elle prit un boucher de son repas et releva la tête lorsque son amie prit parole. << Oh Mon Dieu! Anne s'est merveilleusement bon, tu ne peux pas savoir...ou plutôt si tu le sais! C'est toi qui l'a fait!...Il faut absolument que tu me l'enseigne et j'aurais aussi une faveur à te demander... >> Se compliment toucha Anne, sincèrement. Cela faisait quelques années qu’elle n’avait pas fait cette recette, savoir qu’elle n’avait pas perdue la main la remplissait de joie. Puis elle remarqua qu’Élizabeth commençait à rougir. Qu'est ce qu’elle avait. Elle n’avait jamais rougi auparavant. Quelque chose a demandé? Aller, elle n’avait pas a être gêner. << Oh mon Dieu! Je vais tellement bien Anne...mais hum...Il va falloir que tu m'apprennes à cuisiné!!! Je ne sais pas cuisiné et je suis mariée! Oh mon Dieu, s'il te plaît, il faut que tu m'aide! >> Woh ! Revenons en arrière. Anne arrêta nette de manger et regarda son amie. Est-ce qu’elle avait bien entendue le petit bout après ‘’ Je ne sais pas cuisiner…’’ Elle est… est … MARIÉ. Pourquoi elle ne l’avait pas dit plus tôt. C’était génial. Anne ne pouvait exprimer son bonheur pour son amie. Elizabeth marié. C’est peut-être pour ca qu’elle rougissait. Puis Anne repensa à la cuisine, se n’était qu’un problème mineur. C’était très facile à apprendre. << MARIÉ, tu es marié. Je suis vraiment contente pour toi, c’est fabuleux, tu viens de faire ma journée croit moi… pour se qui est de la nourriture, ne t’en fait pas Elizabeth, c’est très facile a apprendre. Cuisiner, c’est un jeu d’enfant. >> Anne regarda son amie.

L’appétit coupé elle apporta son assiette au comptoir et regarda par la fenêtre au dessus. Wow. Elizabeth marié. Ca allait changer ca vie. Anne repensait à son mariage. C’était un jour qu’elle n’allait jamais oublier. De toute manière qui allait oublier son jour de mariage. Son mariage a elle fut simple et pourtant si unique a ses yeux. Puis elle revint sur terre lorsque la nouvelle mariée prit parole. << Oh Anne! Je ne veux pas empoisonné mon mari! Oh oui...Eh bien, c'est l'une de mes nouvelles...Je suis mariée! À Alexandre Stavoie! C'est le capitaine d'une entreprise navale ou un truc dans le genre! Mais je sais qu'il possède un bateau appelé fonceur! Il est si beau...pas le bateau, LUI! Oh Anne! Dis-moi comment est-ce le mariage? Je ne veux pas lui faire honte... >> Anne tourna la tête de la fenêtre et regarda son amie, qui a son tour s’approcha de la fenêtre près d’elle. << Comment c'est le mariage. Hola! C'est différent pour chacun ma belle, mais si tu y crois sa marchera. Se seras génial, je te le promet. Pour la cuisine, je vais t’aidée Elizabeth. Ce n’est pas difficile, je te le promets aussi. Elle lui fit un clin d'oeil et poursuivi. On va commencer par des recettes faciles et continuer en augmentant le degré de difficulté. Tu vas voir, ton mari n’auras jamais douté de t’es talents culinaire. Tu peu compter sur moi, n'importe quand.>> Ca y est. Anne c’était donner une mission. Il fallait qu’elle apprenne à Elizabeth comment cuisiner.

Après tous, qu’est ce qu’elle ne ferait pas pour sa meilleure amie. Puis Elizabeth se tourna brusquement vers Anne en s’écriant. << Anne! Anne! Il y a une femme dehors! Oh mon Dieu je crois qu'elle saigne! La pauvre, que lui est-il arrivé! Elle a peut-être été attaquée! Viens, elle doit être prête à se transformé en pingouins avec le temps! >> Anne s’approcha de la fenêtre, mais avant qu’elle n’ait pue prononcé un seul mot, Elizabeth était déjà dehors. Anne se précipita à la porte, mais freina brusquement dans le cadre de la porte. Sortir !? Il n’en était pas question. Pas habiller comme sa. Ce n’était pas digne d’une demoiselle, de se montrer vêtue ainsi. Anne regarda Élizabeth qui avait l’aire de parler a la dame dehors. La jeune chinoise, comprit immédiatement que son amie était en train de parler a une amérindienne, mais Elizabeth elle, n’avait pas l’aire de le savoir. Anne regarda aux alentours, personne, avait vraiment l’aire de les apercevoir. << Elizabeth, rentre vite, tu vas attraper froid, je ne veux pas que tu tombes malade. Mademoiselle, je vous invites, vous devez être frigorifié. Aller entrer. >> Élizabeth s’avançait avec la femme.

Anne se précipita vers sa chambre pour se changer, devant son amie, d’accord elle pouvait ausez être habiller d'une telle sorte, mais la elle avait vraiment une inviter. En coup de vent elle s’habilla et redescendit. En passant devant son armoire dans le passage elle prit une petite boite remplis d’herbes qu’elle gardait en cas d’urgence, puis rejoignit les deux femmes dans le salon. Anne se dirigea vers l’amérindienne, qui était assise, elle n’avait pas dit mots depuis qu’elle était entré. Anne parcourra sa boite des yeux et en sorti de l’onguent. Elle le tendit a l’amérindienne, pour qu’elle puisse voire se qu’elle allait mettre sur les blessures, après tous, la dame ne la connaissait pas. Après avoir mit de l’onguent sur ses nombreuse blessure, Anne posa la boite a coter et regarda Elizabeth. Puis tourna la tête vers la mystérieuse inconnue. << Puis-je savoir votre nom ? Je m’appelle Anne LaChapelle et voici mon amie Elizabeth DeChaperel. Vous avez faim ? Car je viens de préparer à manger alors. >> Anne resta assise et attendit la réponse de la femme.


HJ:: Voila, si il y a quoi que se soit mp .. !! Pas super inspirant mais bon =)


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Message  Anoukta Minanow Mer 17 Déc - 4:59

Anoukta jurait encore à propos de sa chute quand une jeune femme vint l'aider à se relever. Une peau blanche. Cheveux bruns, yeux verts. Elle baragouinait toutes sortes de choses... Anouk plissait les yeux, essayant de comprendre ce qu'elle disait... Froid... Vêtements... Une autre qui parlait de la porte. Frigorifiée? Invitée... Entrer... La première femme dût traîner Anouk à l'intérieur pour qu'elle comprenne qu'elle était invitée à l'intérieur. Anouk regarda à l'intérieur. C'était grand... Plus grand qu'une hutte. Il y avait des machines étranges. Quand elle vit Élizabeth s'asseoir, Anouk fit de même, les mains entre les cuisses, regardant nerveusement autour d'elle. C'était tellement étrange... Elle n'avait jamais rien vu de tel. Normal, elle n'avait jamais trop trop aimé les blancs. L'autre dame redescendit. Elle prit une boîte et fouilla dedans avant de tendre un petit pot d'onguent à Anouk. Cette dernière l'ouvrit, l'examina, le sentit, pour en déterminer la composition. Ce n'était pas l'idéal, mais ça ferait l'affaire pour l'instant. Elle s'en mit sur ses blessures. Puis, l'asiatique se mit à parler. Étrange... Elle n'était pas comme les autres...

<< Puis-je savoir votre nom ? Je m’appelle Anne LaChapelle et voici mon amie Elizabeth DeChaperel. Vous avez faim ? Car je viens de préparer à manger alors. >>

Nom... Anne... Élizabeth... Faim... Anouk fronçait encore les sourcils, ne comprenant qu'à moitié, toutefois, Anouk commença à se tapoter la poitrine frénétiquement.

-Anoukta! Anoukta Minanow!

Elle cessa son geste.

-Pas faim... Euh... Merci?

Elle attendit la réaction de ses hôtes. Elle ne savait pas trop comment réagir. Heureusement que les blancs n'étaient pas tous les mêmes! En fait, elle venait de le découvrir. C'était tellement étrange de se trouver dans quelque chose que l'on n'avait jamais connu! Anouk avait un peu l'impression de ne pas être à sa place...
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